Caecilia Alexandre poursuit actuellement son doctorat à la Faculté de droit de l’Université Laval sous la supervision de la professeure Véronique Guèvremont en co-direction avec Konstantia Koutouki, professeure à la Faculté de droit de l’Université de Montréal. Son sujet porte sur l’impact des Conventions culturelles de l’UNESCO sur la mise en œuvre des droits culturels des peuples autochtones. Elle a été récipiendaire de deux bourses d’une durée de trois ans pour la réalisation de son projet de thèse : une du Fonds de recherche du Québec – Société et culture (FRQSC) et une du Programme de droit international du Centre pour l’innovation dans la gouvernance internationale (CIGI). Elle est détentrice d’une Maîtrise en droit concentration droit transnational et international à l’Université Laval et d’un Master 1 en droit public à l’Université Paris I Panthéon Sorbonne.

Caecilia a une large expérience auprès de diverses ONG depuis 2011. En tant que chercheuse et juriste, elle s’est notamment jointe à de nombreuses initiatives relatives à la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, au développement territorial de communautés locales et autochtones ainsi qu’à la défense de leurs droits humains au Québec, au Maroc et à l’Ile Maurice.

Très impliquée au sein de la communauté universitaire, elle est membre de divers centres de recherche et réseaux étudiants dont la Chaire UNESCO sur la diversité des expressions culturelles (Université Laval), le Réseau international étudiant pour le climat (UniC), le Centre de recherche Cultures-Art-Sociétés (CELAT), l’Association of Critical Heritage Studies Canada, l’Institut du Patrimoine culturel (Université Laval), l’Institut Nomomente, l’Association canadienne de droit international.